« Le résultat est un album agréable, trouvant un juste équilibre entre d’un côté une réflexion sur le temps qui passe, l’âge qui vient, les souvenirs d’une vie qui semble parfois meilleure, et de l’autre la nécessité de ne pas baisser la garde, et de continuer à brandir la bannière des idéaux du Rock, fut-il désormais " classique ". »

« Avec ce "All Souls Hill", Scott s’aventure cette fois dans des contrées psychédéliques ("In My Dreams"), s’essaie au trip-hop sur "The Southern Moon" sans oublier d’ajouter du relief et un refrain mémorisable ("Blackberry Girl") – et signe un blues ample aux allures de slow ("Hollywood Blues"). »

« Développé par Mike Scott dans une approche plus collaborative qu’à son habitude, le nouveau Waterboys ne manque ni de fougue ni d’un indéniable respect des traditions musicales : il brandit toujours bien haut la bannière du Rock’n’Roll, face à l’inconstance de l’existence. »

« En 1985, avec ce troisième album des Waterboys, l’Écossais Mike Scott, poète rock habité, élevait sa “big music” au rang d’héroïque rock ultime. Un modèle absolu d’intensité et de ferveur dans un genre qui ne tardera pas à mal tourner. »

« Mike Scott et sa bande s’éloignent de leur identité celtique et expérimentent sur près d’une heure, le rock psychédélique (Everchanging), le triphop (Good Luck, Seeker) ou encore la soul (le bien nommé The Soul Singer), pour un rendu génialement hétérogène. »

Briac Julliand, Les Inrockuptibles (2020)

« Ainsi, la flamme romanesque éclaire à nouveau “Good Luck, Seeker” , quatorzième album des Waterboys. Mike Scott y chante toujours merveilleusement, il y déclame aussi ses textes en slamant, et poursuit sa quête d’une musique enrichie d’éléments nouveaux. »

L’Alsace, 2020

« Le quatorzième album des Waterboys est une belle réussite, saisissant les vieux fans par sa nouveauté sans pour autant faire le deuil de la flamboyance d’antan. »

Eric Debarnot, Benzine Mag, 2020